
AVOCAT EN DROIT DU TRAVAIL À NICE

Maître Stéphanie JOURQUIN a fait du droit du travail son activité dominante, après avoir prêté serment en 2002 et exercé au Barreau de Paris au sein du Cabinet WOOG & ASSOCIES, puis au Barreau de Versailles au sein du Cabinet LMC PARTENAIRES.
Le Cabinet a une activité de conseil mais aussi de contentieux (procédures) dans les différents domaines du droit du travail et du droit social. Le Cabinet intervient auprès des PME/PMI et de groupes de sociétés en assurant un rôle de conseil et d’assistance en droit social et une prévention des risques sociaux et pénaux encourus par l’entreprise et son dirigeant.
Le Cabinet intervient également en matière de défense des salariés dans le cadre des contentieux devant le Conseil de prud’hommes et de la Cour d’appel. Il assiste également les Comités d’entreprise, ou encore en matière de droit syndical et statut des salariés protégés.
Vous pouvez bénéficier des services d’un Cabinet d’avocats à taille humaine, qui privilégie la relation personnelle avec ses clients. La disponibilité et la réactivité du Cabinet sont le gage de son sérieux. Le Cabinet saura vous informer sur vos droits, vous assister dans la gestion amiable des conflits, vous défendre en cas de contentieux. Le Cabinet se tient à votre disposition pour vous apporter son savoir-faire et son expertise.

TEMOIGNAGES
NOTRE CABINET D’AVOCATS EN DROIT DU TRAVAIL À NICE
L’actualité du droit du travail
(Ir)recevabilité de l’action syndicale tendant à la régularisation de situations individuelles
Un syndicat peut agir en justice pour faire constater une irrégularité commise par l’employeur portant atteinte à l’intérêt collectif de la profession (action syndicale intérêt collectif), demander des dommages-intérêts, voire faire cesser l’irrégularité sous astreinte.Mais il ne peut exiger la régularisation de la situation individuelle des salariés (c’est-à-dire demander des mesures concrètes pour corriger la situation personnelle d’un salarié, comme un rappel de salaire ou [...]
Reçu pour solde de tout compte non signé : quel effet sur le délai de prescription ?
Dans un arrêt du 14 novembre 2024 (n° 21-22.540), la Cour de cassation a rappelé qu’un solde de tout compte non signé par le salarié n’a aucune portée juridique : il ne vaut ni preuve du paiement des sommes mentionnées, ni point de départ du délai de prescription des actions en justice. L’affaire portait sur un salarié licencié par la société Renault après 32 ans [...]
Cumul d’indemnités en cas de nullité du licenciement lié à la maternité
La salariée dont le licenciement est nul en raison d’une violation de la protection maternité (nullité du licenciement lié à la maternité), sans qu’elle demande sa réintégration, peut cumuler deux indemnités : celle prévue par l’article L. 1235-3-1 (au moins six mois de salaire) et les salaires qu’elle aurait perçus pendant la période couverte par la nullité. En l’espèce, une salariée enceinte, employée par Lidl, [...]





